Nouvelle saison
L’hiver s’estompe en soubresauts
A petites touches de réchauffement
A tous fugitifs et fugaces sauts
Arrive enfin l’attendu printemps
De partout, tout bourgeonne
Les arbres et même les sourires
Nature perd sa face bougonne
Les fleurettes se mettent à rire
Voila nos corps qui se dérouillent
Des envies qui nous saisissent
Des averses nous mouillent
Et les buissons s’épaississent
Alors on pense aux vacances
Pour ceux qui peuvent partir
A l’été et ses douces transes
Je me sens ragaillardir