Souvenir de tes lèvres sur mon ventre embrasé,
Le poids de ton désir sur mes chairs enflammées,
De nos bouches sortaient des soupirs extasiés
Où nos langues flirtaient avec le verbe aimer.
L'envie de nos envies mordait dans l' irréel,
Tu me disais je t'aime, ô dieu que tu es belle
Nos deux corps se joignaient en doubles décibels
Gaussien tableau d'amour aux douceurs de soleil.
Sueurs entremêlées nous chantions les louanges,
De deux âmes liées par une fièvre étrange,
Jouant au jeu d'amour,de je t'aime je te mange,
Où les plus beaux instincts s'unissent et se mélangent.
Il ne nous restera que mil et une nuits,
Pour assouvir nos soifs, nos sens et nos envies,
Et c'est en amoureuse que je te le confie,
Tu es mon grand amour ; O oui tu es ma vie.