Suplice et supplique.

Le vent s’engouffre dans mon cerveau gélifié
Son bourdonnement me rappelle que j’existe
Ai-je un jour été vivante ? Ai-je même rêvé ?
N’étais-je tout simplement pas autiste ?
La grand-voile m’a conduite vers des rochers obscurs
J’ai froid dans cette nuit sans fin, vidée.
J’ai mal.
Mon corps est une lancinante boursouflure
Le martèlement de ma tête fait un bruit infernal.
Pitié la vie !
Laisse-moi m’en aller vers un ciel lumineux
L’enfer je l’ai assez vécu, j’ai besoin de repos
Que m’importe qui me conduira vers les cieux
Je partirai sans plainte, sans regret ni trémolo.

Bats-toi, les jours lumineux ne sont pas loin et sur cette terre, je t'envoie un grand bol de courage

Tu te bats depuis tant d'années que je comprends ta supplique et ta douleur. Je comprends aussi que tu sois fatiguée de te battre,
mais tu as tellement de courage que je sais que tu vas lutter encore. N'oublie pas que tu as ici beaucoup d'amis qui t'aiment et pensent à toi.
Je voudrais tant t'aider afin que tu ne souffres plus.
Je t'aime ma princesse et te fais milles bisous. Je prie très fort pour que tu ailles mieux.

Ta mamounette

quand on a trop mal, il arrive d'être découragée
je vous aime

il arrive de souhaiter la mort par trop de souffrance et il faut essayé de se surpassé

A 21 ans c'est sur qu'on doit aspirer à un monde sans douleur ni maladie mais combattre et gagne doit rester le seul objectif.

lilo a écrit:

Son bourdonnement me rappelle que j’existe

Je ne veux m'accrocher qu'à cette phrase.

Les douleurs sont pires que la maladie elle même.

Ah ! la satanée, la traitresse, elle ne te laissera donc jamais en paix ! infâme douleur, maladie que l'on espérait oubliée, te revoilà donc soudain, mais je connais ta volonté, ta foi, ton courage, tu n'abdiqueras jamais devant l'obscur, nous sommes à tes côtés. Je sais c'est peu de chose de dire cela, mais tu sais s'associer pour créer un éther d'amour peut avoir un grand résultat.