Les vents de la plaine cinglaient mon visage
Gerçant mes lèvres et piquant mes yeux
Mais je te cherchais de rivage en rivage
Mes larmes implorant les cieux et les dieux.
Les mains tendues dans un brouillard épais
Sans savoir où mes pas pouvaient me conduire
Vers un monde où l’amour semble être ignoré
Même un rayon de soleil n’a pas pu me séduire.