Il y a un monde ailleurs…
Esperons juste qu'il soit meilleur
Car ce monde s'échappe de mes mains
J'aimerais pouvoir vous dire que tout va bien
mais la peine toujours me poursuit et m'emprisonne
Moi, Hadès méprisé, inconnu, l'ombre de Perséphone
Toujours son odeur m'envoute et m'enivre,
La mort, senteur qui me rend ivre
Ivre de toi, ivre de nous, ivre d'un souvenir qui me rend fou…
Comme un homme perdu sur une terre gelée… Je suis à vous…
Vous qui m'avez punnit, détruit, rendu insensible à toutes les puretés,
Vous qui avez fait d'un coeur de pierre, l'expression d'une âme hantée,
Vous qui m'avez en ce monde interdit d'éprouver le mot ” aimer”…
Mais il y à un monde ailleurs…