L’assaut du départ
"…dans la furie des fers grondaient les chaînes, tournaient les vérins
crachant leur souffre. D’un mouvement régulier les roues suintantes
raclaient les corps désinvoltes. Le néant était là, quelque part,
sous les pieds tremblant de l’enfant…"
Je suis dans le noir…
Et mes yeux se perdent vers l’infini.
Je ne pense plus, et s’éteignent mes images.
Je lève la tête, j’avance vers le nouveau, fière de réussir…
Mais s’écroule le sol en poussière sous mon cœur, arrachement des rêves.