Lorsque le vent s’en vient
Lorsque le vent s’en vient caresser ton visage
Que le soleil mutin éclaire mon logis,
Je pense à toi ma douce et mon amour grandit
Dans mon cœur pour une autre, il n’est de place.
Ti vois je te sais loin et si proche à la fois
Te regarder passer et ne dire un seul mot.
Quand je sais que tes yeux se sont brûlés sur moi
Je marche dans tes pas en oubliant mes maux.
Te dire que je t’aime, qu’il n’y a que toi
Qui sait me regarder et de ton cœur m’aimer.
Cela me semble beau et fou tout à la fois
Car ton cœur amoureux au mien est accroché.
Tu sais, chaque minutes que Chronos nous accorde
Me laisse pantelant, il ne sait que rêver
Et si ton cœur se donne à moi dans tes pensées
Le mien bat seul pour toi, en un divin désordre.
Aimes moi cher amour, aime-moi sans compter
Le temps qui nous éloigne ne peut nous séparer.
Il y a « tes je t’aime » que ta bouche murmure
Je les entends de loin et ton cœur me rassure.
Le loup 25.02.09