Nus pieds dans la poussière,
marchant sur la misère,
pauvres gosses égarés,
dans vos yeux, quelle fatalité.
En haillons dans les rues,
leurs sourires n'est plus,
pales refflets dans leur regard,
le caniveau pour point de départ.
Mandicité à la prostitution,
chemin menant à la dérision,
plus aucun repaires,
descente aux enfers.
Ce sont encore des enfants,
devenus tour à tour errants,
des hommes abusent d'eux,
leur fesant croire à un autre heureux.
Ils sont toujours à Calcutta,
les pauvres de Mère Thérésa,
elles les rêvait retrouvant leur dignité,
sur leurs visages, un sourire esquissé.
Mais ils sont nus pieds dans la poussière,
marchant encore sur la misère...
L.A 01.10.07