Ou soufflais tu Eole

Ou soufflais tu Eole






Ou soufflais tu Eole avec tes alizés,
Ou soufflais tu dis moi quand le soleil brûlant,
Réchauffait notre amour de ses babillements.
Tu étais je le sais en lointaines contrées,
Pendant que notre amour brillait au firmament.


Il brillait dans les cieux comme un astre radieux
Et les nuits qui passaient sur nos cœurs dans la joie,
Donnaient à notre amour ce je ne sais trop quoi,
Qui forgeait cette union en des rêves amoureux ;
Inscrite dans le temps par la plume des dieux.


Nous étions elle et moi suspendus aux nuages.
Rien ne nous atteignait, même pas les orages.
Il y avait en nous ces baisers langoureux,
Que nos cœurs échangeaient dans des nuits pas très sages ;
Quand le soleil sur nous se faisait radieux.


Eole tu étais le souffle si frivole
Qui soulevait gaiement les jupons de ma belle.
Tu aimais savourer ces belles farandoles
Qui te réjouissait quand sa robe flanelle,
S’évasait sous ton souffle à la douceur charnelle.


Et quand la mer venait murmurer à nos pieds
Des mots qui se perdaient dans notre immensité.
Alors à tous les deux vous faisiez s’envoler,
Nos rêves les plus fous sous le soleil d’été ;
Nous plongeant dans l’ivresse d’un amour passionné.


Maintenant qu’en est-il de ce passé si proche,
Que nous avons perdu sans savoir les demains.
Je plonge alors mes mains dans le creux de mes poches
Et regarde la mer qui s’étale au loin
Mais elle n’est plus là, ma main tenant sa main.


Ton vent a dissipé notre amour sur le sable
Et je peux te le dire mon cœur en est malade.
Tu l’as laissé s’enfuir vers d’autres horizons,
Ou nos coeurs ont cessé de battre à l’unisson ;
S’éloignant à jamais sans donner de raison.



Le loup 03.04.07

J'ose espérer que ce n'est qu'un poème fictif ami loup.

Pavot rouge,

oui bien sur que c'est quelque chose de fictif, si tout ce que j'écrivais était d'actualité mouarf quelle galère aprfois et aussi quelles joies mais bon je te raéssure, regardes la dates en bas du poème
amitiés à toi du loup

Du passé ou du présent tu es la plume de l'amour et je suis certaine que tu le seras encore demain.

Lilo,

coucou petite fleur
bon je ne sais pas si je suis la plume de l'amour mais je sais au moins que mes poèmes sont appréciés et cela me fait plaisir mouarf
merci de ton commentaire sur ce poème qui date un peu mdr
bisous du loup

Bonsoir Loup, tu écris des sentiments dans tes poèmes qui souvent me touche par rapport à mon vécu.. J'adore te lire et que le bonheur coule dans ta vie toujours..Okana tendresse...

Maintenant qu’en est-il de ce passé si proche,
Que nous avons perdu sans savoir les demains.
Je plonge alors mes mains dans le creux de mes poches
Et regarde la mer qui s’étale au loin
Mais elle n’est plus là, ma main tenant sa main.


Ton vent a dissipé notre amour sur le sable
Et je peux te le dire mon cœur en est malade.
Tu l’as laissé s’enfuir vers d’autres horizons,
Ou nos coeurs ont cessé de battre à l’unisson ;
S’éloignant à jamais sans donner de raison.

A la lecture de ton beau texte je ne puis m'empêcher de penser au poème de Rutebeuf " que sont mes amis devenus"

"Ce sont amis que vent emprte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta"

Il suffit de si peu pour qu'un amour s'en aille !!!!

Amicalement.
Adn

Alain,

merci de ton passage sur ce poème à la saveur mélancolique, c'est vrai qu'il peut faire penser à beaucoup de chose tant il est remplis de plaisir et de regrets ensuite
merci de ton passage
amitiés à toi du loup
daniel


Tonyves,

tu sais le fictif n'est jamais trop loin de la réalité, nous vivons dans un monde ou tout peut basculer d'un moment à l'autre d'un des deux côtés
heureusement celui ci est bien fictif et j'aime toujours ma Muse
amitiés à toi du loup