Les bras tendus comme deux branches d’arbre dénudé
Tremblotants et apeurés tâtonnent dans une pénombre où s’engouffrent des reliquats d’angoisses tues.
Pauvres grêles remparts …..
A gauche, un heurt !
A droite, la peur !
Derrière,…..Oui mais derrière il n’y a pas de bras.
Devant… une nuit qui m’étreint.