Le manqu’de toi
Quand internet vient à faillir
C’n’est pas le doute qui m’envahit
Juste le manqu’de tes sourires
Et les révoltes d’tes cris
Alors, j’ferme les yeux
M’laisse aller aux rêves
Nous imagine tous les deux
Enlacés dans l’jour qui s’achève
Des frissons m’en parcourent l’dos
La fièvre mont’à coup de mots
M’plonge dans un doux r’pos
M’vla pour l’instant sonné
Dans des délires irraisonnés
Ainsi s’termine ce sonnet.