Douce Princesse
Laisse-moi dev’nir ton ombre
Quand l’soleil agresse ton visage
Un p’tit coin de rive sombre
Quand t’accostes à mon rivage
Pour quelqu’heures de suave repos
Prends mon corps comme litière
Laisse-moi te gorger de tendres mots
Quand s’atténuent tout’les lumières
Red’venons comme des adolescents
S’regardant jusqu’à s’en effleurer
Sans que n’cesse l’émerveillement
D’cet instant suave d’liberté.