le gaz butane s'étiole et se dévergonde au sourire de la joconde
la morosité déblatère son paquet d'artère austère a la figure
des estètes en mal d'amour obsolète
le romantisme pécuniaire vocifère des artefacts de sentiments mitigé
les oiseaux volent et tombent, virevoltent de moult manières
et gazouillent derechef d'orchestre
les papilles gustative clignotent et bougeotent sur un steack a la bergamote
l'amphithéatre moribond des scléroser du bulbe est le théatre d'un
mélodrame pathétique sur la diatribe des philantropiques contes antiques
quelques invertébrés agrées maugréent des psaumes sur le jeu de paume
l'amour irascible de quelques olibrius pour la station columbus emeut
la foule endormi, sur la tamise de félini
l'herbe maudite s'écrase mollement sous les pas lourdaux d'un ignoble puceau
la vie se consume et s'étiole en nuée de bestiole drogué a la gnole sur l'agneau de mes propos
l'angoisse éthéré des phacochères boustés a la nappe de synthé
se transmet de main en main, tel un relais relou
lourde supplication d'un désir ignifugé au hachi parmentier
le portable sonne et se trémousse en estimant la moyenne des secousses
c'est l'air du temps qui résonne a la façon de deux trois pommes.
les abducteurs abdique devant la transe promoteur d'un marteau piqueur
la réalité ultime sur l'apesanteur d'un saule pleureur
la grandiloquence a outrance des émoussements affectif, le dythirembique
parfum de mozanbique font la nique a yanick.(chanteur)
les protubérances indigestes des boursouflures de sulfure,
les exclamations à coeur ouvert d'une tripoté de ventripotants, par monts et par vent
manant et parvis. qui parjurent sur une sorte d'épluchure
la cathalyse partiel de la terre et du ciel prone la complétude des jeunes filles en rut
parjure épatant d'un patin apathé
tout fini en guimauve de chromosome dans le magma quantique
de la synthèse extatique des formules toute faite.
exercice