Telle, au printemps, semble larmes la rosée
Que de joie, le soleil sur les collines vertes,
Chaque brin et chaque feuille ainsi arrosés
Offre en féerie à nos sens en tendres alertes
Vois vers toi, au matin, se tendent mes bras
Comme une cape, un serment tant renouvelé
Après encore une nuit où l’heure tua nos ébats
De câlineries en mots prometteurs d’infinité
Même fugace, l’avenir s’offre à nous deux
Nos regards toujours vers le même horizon
Aimer embellit nos sourires de mille feux
Quelque soit l’endroit ou bien la saison
Un frôlement, une pression de nos doigts
Et c’est un plaisir que nous offre la vie
Une extase quand nous ne sommes toi et moi
Plus qu’un seul être, merci ma mie