C’est la danse dans le firmament clair,
Doux printemps trempé de joies dans l’air,
Tout est de vert fleuri à travers buissons,
Ô! Enivrante saison.
C’est délicieux de marcher les yeux fermés,
Dans cet air parfumé qui monte du verger,
Odorantes fleurs de pommiers,
Qu’une brise printanière n’ose point déranger.
Au-delà du ciel bleu de mai,
Immense accolade à ce temps tant aimé,
À l’horizon d’une campagne ensoleillée,
Aux grandes plaines de vergers éparpillés.
Rien n’est plus suave que d’anticiper,
Le savoureux fruit de l’amour qui pousse,
Instille-moi de ta saveur acidulée que je me trémousse!
Les bourgeons sont tous éclatés.