.Le temps se meurt en moi tel un caprice en fin de pleurs
Défilent les silences comme un écho à mes amours
Un avenir opaque me toise de ses heures
Des lendemains ombrés qui semblent un peu trop courts.
Peut-être ai-je vécu trop longtemps par mes plaies
Dans ce corps bien trop lourd marqué de cicatrices
Mon esprit a perdu gisant dans des tranchées
La vie n’est pas la vie, la mort est sa complice .