Merci mes amis pour ces commentaires. Ce texte je l’ai écrit après avoir entendu qu’un petit garçon qui avait étudié en classe les tsunamis a prévenu à temps plusieurs personnes qui grâce à lui on survécu au raz de marée qui a dévasté l’Indonésie. La référence à la théorie du chaos est lié à mon intérêt pour celle-ci. De la remise en question du déterminisme de Laplace par Poincaré qui s’intéressa à la place du hasard dans les probabilités à la jolie métaphore de Lorenz quelle belle évolution de la pensée scientifique. On est passé d’un monde où le hasard était un vilain génie à des lois mathématiques qui l’expliquaient. Cette théorie des systèmes dynamiques non linéaires permettait de donner une réalité scientifique au hasard. Un modèle mathématique applicable dans tous les domaines : physique, cognitif, économique… on avait enfin conscience qu’une petite variation infime dans un système pouvait dérégler de manière importante son fonctionnement et avoir des conséquences incommensurables. Aucun système ne résiste à un grain de sable avec le temps même si ce grain de sable est infiniment petit. Bon j’arrête de joué le scientifique puisque je ne suis qu’un modeste amateur dans le domaine et que je risque de dire des bêtises. Mais la métaphore de Lorenz avec son papillon est belle, même si ce n’est qu’une métaphore. Les papillons ne font pas le chaos, je vous rassure. Mais je suis persuadé que le chaos est aussi naturel que les papillons.
Ps : désolé si je ne commente pas plus en semaine le temps me manquant, mais je vous lis, avec plaisir, lors des petits moments de pauses que j’arrive à m’octroyer.