Il paraît même qu'ils prennent une partie de vos maux... On dit qu'ils n'en font qu'à leur tête, mais la mienne arrive en prrrroutant (elle ne sait pas miauler) quand je siffle, me fait des câlins quand je n'ai pas le moral et me saute dessus (si possible sur le visage ou le ventre, avec le plus d'élan possible) au lit jusqu'à ce que je daigne me lever le matin...
Ton poème est très touchant, gigi, très agréable à lire. Merci !
anne-laure