Peu importe ma fin puisque je t'ai connu.
Peu importe ma mort puisque j'ai bien vécu.
Dans les bras d'un papi j'ai brûlé mille feux.
Orient et occident mes yeux ont vu les cieux.
De voyages en désert j'ai caressé la lune,
Mes pieds se sont mêlés dans la douceur des dunes.
Alors oui que m'importe si l'océan m'entraine,
Dans l'obscur et divin effacement des peines.