Ma muse pleure des larmes noires...
Lentement, les heures du soir défilent...
Tenté, je défi cette beauté du regard.
Je fais mes armes et je dessine
Ses courbes. Ma gloire se fait sourde
Tandis que je succombe au désir.
Pitié; Laisse-moi t'aimer !
Le lâche que je suis lâche du leste
Et espère côtoyer tes hauteurs.
Je veux être l'auteur de nos nuits.
Ton odeur m'évoque un puits de lys,
Telles les sonates de Liszt,
Ta voix scelle mon cœur...
Ton corps danse avec le Diable,
En transe... Et ta luxure,
Insatiable, s'élance.
Enfin...
Et ma muse pleure des larmes noires
Tandis que je jouis des hasards du soir.