Qu’importe ce que nous deviendrons
Je viendrai panser toutes tes blessures
Tu entendras ma voix en doux murmures
Quelque soit le monde où nous serons
Même errant du côté de chez Hadès
J’accourrai à ta moindre souffrance
Ignorant les épées de Damoclès
Éternellement je t’ai juré allégeance
Tant de larmes se sont taries
Tant de berges furent inondées
Que pas un instant ma mie
Mon esprit ne cessera de t’aimer
Les ondes du sort mauvais nous frappent
Sans discontinuer mais au-delà du temps
Moquons-nous de ses perfides claques
Puisque aimer l’autre ramène le printemps…