Six heures

Texte bien maitrisé comme un sujet connu. Mais ne faisons pas d'un très "triste fait divers" une généralité, l'ami.

Je ne vois pas où est la généralisation, je fais juste le parallèle entre deux faits divers concomitants. J’ai peut-être tort d’en parler ici et de tirer les conclusions que j’en tire, mais je n’en vois pas d’autres. Désolé, si cela vous a heurté, ce n’était pas mon intention, j’ai voulu exprimer un sentiment et non pas une conviction politique. Je sais mon cher ami, Candide, qu’il faut cultiver son jardin mais est-ce de ma faute si les faits d’hivers nuisent à mes salades ?
Je suis peut-être à contre courant avec mes états d’âmes altruistes qui remettent en question la voie de la compétition. Faut-il que je revienne sur la piste du drame des émotions, que j’oublie que l’autre existe et que je suis responsable des décisions que des spécialistes n’hésiteront pas à signer de mon nom ?
Je suis un citoyen qui s’interroge et qui exprime ses interrogations. J’attends les réponses de ceux qui les ont. Ce moi altruiste dont je parle, c’est mon empathie, ma désolation. S’il faut que contre elle je lutte, je préfère faire taire mes émissions.
Je sais que ma réponse est abrupte, mais je ressens l’agression. Un mais réprobateur qui semble porter d’autres intentions. La franchise consiste à dire ce qui fait pression, car, souvent, ce qui fait crise : c’est de nier la question.

Je trouve ce texte très bien écrit et il dit bien toute la misère que souvent on ne voit pas mais qui pourtant est bien là et plus présente qu'on ne croit, hélas.
Tu as bien fait d'écrire ce poème car beaucoup ne savent pas combien la souffrance est grande pour certain.
gigi

il fait bon de parler de la société dont bien des personnes n'ont aucun privilège. rien et rien.J'ai adoré te lire...Okana

merci Allover pour ce message
oui tu as bien raison et je te dis bon coup de geule

même si j'espère que ce ne soit toi dans cet état
je ne le souhaite a personne, si on a pas de fric
on est des moins que rien !

j'ai aimé cette lecture qui vient me toucher au coeur !

C'est un coup de gueule !
Un coup de gueule dont je n'ai pas senti l'intention de m'y rallier.
Alors oui je n'aime pas les odes qui relatent des coups de gueule du moment mais je sais en apprécier l'écriture.
Et le pourquoi de ma dernière phrase ? AU nom de ma conviction personnelle, je préfère la pérennité des écrit à l'éphéméride mais ça, ce n'est pas une critique...
Bien à toi !

on appelle ça un fait divers quel monstrueuse appellation . Jamais, et pour quelque raison que ce soit je ne comprendrais qu'on puisse ôter la vie à ses enfants , mais Je sais que notre société inhumaine pousse les plus fragiles d'entre nous à des extrêmes . Il n'y a plus qu'une loi celle du plus fort .. enfin du plus riche

on appelle ça un fait divers quel monstrueuse appellation . Jamais, et pour quelque raison que ce soit je ne comprendrais qu'on puisse ôter la vie à ses enfants , mais Je sais que notre société inhumaine pousse les plus fragiles d'entre nous à des extrêmes . Il n'y a plus qu'une loi celle du plus fort .. enfin du plus riche

Ces faits divers existent bien mais c'est à peine s'ils tiennent un petit rectangle de 3 cm sur un journal de région et encore comme tu dis il sera écrit qu'elle était dépressive.Les gens bien penseurs imaginent mal que la détresse existe réellement.C'est sous forme de poème ici mais c'est une des réalités qui nous entourent.
Je suis pour ta façon de l'exprimer.

bien écrit . je suis avec toi dans les propos et les vers